D7cion
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Un poème de plus que j'ouvre au public.... il était aussi sur mon espace perso, mais vu qu'il y a moins de 10 personnes qui y ont accès, je vais les faire connaitre
Bien qu'il ne le mérite pas à mon goût, mais l'écriture est un exutoire....
Un mignon petit soleil est venu m’éclairer,
J’ai cru un moment que la chance avait tourné.
Ebahi, réchauffé par cette merveilleuse lumière,
Elle venait me souffler la nuit quelque vers.
C’est un feu de tendresse qui m’a illuminé,
Une douce chaleur qui m’a traversé.
Mais c’est avec tristesse que je dois constater,
Qu’une fois de plus l’amour m’a bluffer.
A croire qu’aimer est la source de tout,
J’imagine trop souvent qu’il est partout.
Force est de constater que ce n’est pas le cas,
Quel dommage, moi je ne cherche que cela.
Ce petit joyaux, cette petite perle,
M’a dévoré comme une vague qui déferle.
J’aurais tant voulu glisser sur l’écume,
Mais j’ai dans la bouche comme un goût d’amertume.
Espérant savourer un doux parfum sucré,
J’ai bu une sacrée tasse, l’addition est salée.
Pourquoi faut il que je saigne chaque fois ?
Simplement être aimer, n’en ai-je pas le droit ?
Devant le destin je me dois de m’incliner,
Même si bien cruel me semble ce dernier.
J’avoue ne pas comprendre pourquoi c’est ainsi
C’est pourtant un petit ange si joli.
Mais le cœur a ses raisons que la raison ne connaît point,
Je dois m’y résoudre et prendre mon mal à deux mains.
La chasser de mes pensées, de me rêves,
Même si j’ai l’impression que mon âme en crève.
Bien qu'il ne le mérite pas à mon goût, mais l'écriture est un exutoire....
Un mignon petit soleil est venu m’éclairer,
J’ai cru un moment que la chance avait tourné.
Ebahi, réchauffé par cette merveilleuse lumière,
Elle venait me souffler la nuit quelque vers.
C’est un feu de tendresse qui m’a illuminé,
Une douce chaleur qui m’a traversé.
Mais c’est avec tristesse que je dois constater,
Qu’une fois de plus l’amour m’a bluffer.
A croire qu’aimer est la source de tout,
J’imagine trop souvent qu’il est partout.
Force est de constater que ce n’est pas le cas,
Quel dommage, moi je ne cherche que cela.
Ce petit joyaux, cette petite perle,
M’a dévoré comme une vague qui déferle.
J’aurais tant voulu glisser sur l’écume,
Mais j’ai dans la bouche comme un goût d’amertume.
Espérant savourer un doux parfum sucré,
J’ai bu une sacrée tasse, l’addition est salée.
Pourquoi faut il que je saigne chaque fois ?
Simplement être aimer, n’en ai-je pas le droit ?
Devant le destin je me dois de m’incliner,
Même si bien cruel me semble ce dernier.
J’avoue ne pas comprendre pourquoi c’est ainsi
C’est pourtant un petit ange si joli.
Mais le cœur a ses raisons que la raison ne connaît point,
Je dois m’y résoudre et prendre mon mal à deux mains.
La chasser de mes pensées, de me rêves,
Même si j’ai l’impression que mon âme en crève.
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